terça-feira, 18 de outubro de 2011

XVIII CONGRESSO BRASILEIRO DOS PROFESSORES DE FRANCÊS

http://www.18cbpf.com.br/

XVIII CONGRESSO BRASILEIRO DOS PROFESSORES DE FRANCÊS
TEMA: (IN)FORMAR PARA TRANSFORMAR - o francês para todos: desafios políticos e didáticos
A Federação Brasileira dos Professores de Francês - FBPF e a Associação dos Professores de Francês do Paraná - APFPR têm o imenso prazer de anunciar que, de 18 a 21 de outubro de 2011, realizar-se-á o XVIII CONGRESSO BRASILEIRO DOS PROFESSORES DE FRANCÊS, na cidade de Curitiba-Paraná, nas instalações da FESP, rua Dr. Faivre, 141- centro.

terça-feira, 11 de outubro de 2011

Dica Nota 10

Amigos,

A minha dica ficou entre as 5 finalistas do concurso cultural "Dica Nota 10" para professores de língua estrangeira. O ganhador do kit da Disal, com material didático, será o da dica com o maior número de comentários no facebook. Então preciso da ajuda de vocês que estão no face! Entrem no link, tem as 5 dicas e, embaixo da minha, façam um pequeno comentário (não é suficiente curtir). Merci!!!


https://www.facebook.com/photo.php?fbid=300047853345712&set=a.300047816679049.94117.185060588177773&type=3&theater

quinta-feira, 6 de outubro de 2011

Palestra "Introdução à Musicolinguística"

Muito interessante a palestra do professor Gilson Lopes, ontem na Faculdade de Letras, da UFPel, dentro do ciclo de palestras da francofonia.
De maneira informal, ele nos deu uma ideia de como funciona o ensino de língua estrangeira através da música. Como o público era formado por estudantes e professores de francês, o professor, que tem formação em Genebra, Suíça, falou todo o tempo em francês, o que para nós, foi mais uma forma de entrarmos em contato com o idioma.
Esperamos que ele retorne para ministrar um curso pois a abordagem do ensino com música já faz parte das nossas experiências em sala de aula, mas o aprendizado com alguém que é profissional da área e domina as técnicas utilizadas é, sem dúvida, algo especial.
Foi ótima a ideia das professoras organizadoras do evento em trazê-lo.

sexta-feira, 23 de setembro de 2011

Les nombres en français: de 0 à 100

e-Voyageur : magazine voyage, forum, carnets voyage, photos, comparateur voyage, bons plans voyage

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Site com mapas e dados de países

http://www.e-voyageur.com/

CICLO DE PALESTRAS ASPECTOS E DESAFIOS DA FRANCOFONIA

Palestra " Introdução à Musicolinguística: aprenda idiomas por meio da música"

O Centro de Letras e Comunicação informa que o professor Gilson Lopes proferirá a a palestra " Introdução à Musicolinguística: aprenda idiomas por meio da música" no dia 5 de outubro, quarta-feira, às 13:30 na sala 107 do CLC no Campus Porto - UFPEL. Gilson Lopes é licenciado em Musicolinguística pelo “ISM” Institut Supérieur de Musique, Langues et Culture de Genebra e é detentor do primeiro módulo do Certificado da “FSEA” Fédération Suisse pour la Formation d’Adultes de Berna para obtenção do Brevet Fédéral pour la Formation d’Adultes . Trabalha na formação de adultos como professor de português do Brasil LE e de francês LE. O projeto de extensão Ciclo de Palestras"Aspectos e desafios da francofonia" é uma iniciativa conjunta da Área de Francês do CLC da UFPEL e do Comitê-Sul da Associação de Professores de Francês do Rio Grande do Sul.

sábado, 17 de setembro de 2011

Henri Dès chante C'est le Printemps

C'est le printemps

Paroles et musique : Henri Dès


J'suis content
C'est l'printemps
Aujourd'hui j'ai rien à faire
Quelle aubaine
Turlutaine
Je marche le nez en l'air

J'suis content
C'est l'printemps
Les arbres sont en couleur
Dans les nids
Les petits
S'égosillent tous en choeur

REFRAIN:
Le matin, le matin
Ne rime plus avec chagrin
A midi, à midi
Je n'aurai pas plus de soucis
A 4 heures, à 4 heures
Ca rime avec tartine au beurre
Et le soir, et le soir
Ca rime toujours avec espoir

J'suis content
C'est l'printemps
Qui vient juste après l'hiver
Le voilà
Youp' lala
C'est joli pis c'est pas cher

J'suis content
C'est l'printemps
C'est pour moi qu'elles butinent
Les abeilles
Dans l'soleil
Me préparent mes tartines

REFRAIN

J'suis content
C'est l'printemps
Je compte les rossignols
J'suis gâté
C'est congé
Je n'irai pas à l'école

J'suis content
C'est l'printemps
Poussent des petits bourgeons
Dans les prés
Sur mon nez
Poussent des petits boutons

quinta-feira, 8 de setembro de 2011

Qui êtes-vous, Vitor Ramil?

Qui êtes-vous, Vitor Ramil ?

Publié le 27 septembre 2010 par bahiaflaneur
En une rare escapade au sud du Brésil, le flâneur souhaite ce jour divulguer cette vision lucide et complémentaire, par Vitor Ramil lui-même, d’un Brésil aux antipodes d’un Nordeste et d’un “pays tropical”…
L’Esthétique du Froid
Je me sens un peu le disciple de ceux pour qui
- selon la description de Paul Valéry - le temps ne compte pas;
ceux qui se dédient à une espèce d’éthique de la forme
qui conduit au travail infini.
Je m’appelle Vitor Ramil. Je suis Brésilien, je suis compositeur, chanteur et écrivain. Je viens de l’État du Rio Grande do Sul, dont la capitale est Porto Alegre. L’Etat est situé à l’extrême sud du Brésil, à la frontière entre l’Uruguay et l’Argentine, une région où le climat est tempéré, dans cet immense pays que le monde connaît comme étant un pays tropical.
Le territoire de l’État du Rio Grande do Sul équivaut à celui de l’Italie. Ses habitants, les Rio-grandenses, aussi connus sous le nom de Gaúchos, semblent se sentir les plus différents dans un pays fait de différences. Cela est dû à la situation unique de région-frontière qui les a formés et par laquelle ils ont été formés (l’Etat possède des frontières avec deux pays hispanophones); à l’immigration européenne, principalement italienne et allemande; au climat caractérisé par quatre saisons bien définies; au passé marqué par les guerres et les révolutions, comme par exemple les combats menés pendant trois siècles entre les empires coloniaux du Portugal et de l’Espagne, pour la conquête de notre territoire actuel, ou encore, la Révolution Farroupilha, entre 1835 et 1845, lors de laquelle la République Rio-grandense a été déclarée, séparant l’État du reste du pays pendant une période de dix ans.
Si durant le régime monarchique, l’État a anticipé la fondation d’une République, de nos jours, dans le cadre politique national de ce début de siècle marqué par l’inégalité sociale, sa capitale Porto Alegre est un modèle réussi de politique de participation populaire.
Je parlerai très brièvement de mon expérience comme artiste au Rio Grande do Sul et au Brésil. Il faut que je vous explique que cette conférence est un exposé de mes réflexions sur ma production artistique, et son contexte culturel et social. Le thème, l’esthétique du froid, n’est pas du tout une formulation normative. Les idées qui seront développées naissent de mon intuition et de ce que mon expérience reconnaît comme appartenant au sens commun. L’ampleur du sujet et la durée limitée de mon exposé ne me permettant pas de le développer pleinement, je vous invite à un débat ultérieur pour que nous puissions reprendre ensemble ce qui vous intéresse et partager quelques réflexions nouvelles.
Je suis né dans l’intérieur, encore plus au sud que Porto Alegre, dans la ville de Pelotas, qui apparaît dans quelques-uns de mes textes et de mes chansons en anagramme: Satolep. Ma vie professionnelle a commencé et s’est développée à Porto Alegre. Pourtant, j’ai enregistré presque tous mes disques à Rio de Janeiro, centre du pays et du marché de la musique populaire brésilienne. Sauf mon dernier CD, Tambong, qui a été enregistré à Buenos Aires, en Argentine.
A dix-huit ans, j’ai enregistré mon premier disque Estrela, Estrela; à vingt-quatre ans, j’ai quitté Porto Alegre pour déménager à Rio de Janeiro où j’ai vécu pendant six ans. J’habitais le quartier de Copacabana, une plage symbole de l’été brésilien, et, malgré le climat fait de changements discrets d’une saison à l’autre et où prédomine la chaleur, j’ai maintenu quelques habitudes du froid, comme boire le chimarrão, une infusion traditionnelle chaude de maté.
Or, à Copacabana, par un jour très chaud du mois de juin, justement quand l’hiver commence au Brésil, tandis que je buvais le chimarrão, j’observais au journal télévisé les scènes d’un carnaval anachronique pour une ville du Nord-est, région où il fait chaud pendant toute l’année - le carnaval brésilien est une fête de rue qui se passe dans tout le pays pendant l’été. Les images montraient un camion diffusant une musique qui réunissait des milliers de personnes, peu habillées, qui sautaient, chantaient et transpiraient sous un soleil accablant. Le présentateur du journal, qui parlait au pays entier à partir d’un studio situé à Rio de Janeiro, décrivait la scène avec un naturel absolu, comme si cela était naturel en juin, comme si cela faisait partie du quotidien de tous les Brésiliens. Bien que je sois aussi à moitié nu et trempé de sueur à cause de la chaleur, je ne pouvais pas m’imaginer défiler derrière le camion comme ces gens là, je ne me sentais pas motivé par l’esprit de cette fête.
Ensuite, dans le même journal télévisé, on a montré l’arrivée du froid au Sud, annonçant un hiver rigoureux. J’ai donc vu le Rio Grande do Sul: des champs gelés sous la lumière blanche du matin, des enfants qui écrivaient de leurs doigts sur le gel accumulé sur les vitres des voitures, des hommes au poncho (un gros manteau en laine), des eaux gelées, l’espoir de neige à la montagne, un chimarrão qui fumait comme le mien. À moitié nu et trempé de sueur, j’ai reconnu immédiatement cet endroit comme le mien et j’ai souhaité ne pas être à Copacabana mais dans un avion pour Porto Alegre. Le présentateur avait adopté le ton d’une presque incrédulité en décrivant ces images du froid comme si elles étaient le portrait d’un autre pays (il les a même définies de «climat européen»).
Tout cela m’a causé un grand étonnement. Je me suis senti isolé, distant. Non pas du Rio Grande do Sul, qui était pourtant bien éloigné, mais de Copacabana, de Rio de Janeiro, du centre du pays. Pour la première fois, je me sentais un étranger, un étranger dans mon propre pays, différent, séparé du Brésil. Je tenais la preuve de quelque chose dont, jusqu’à cet instant, je n’avais pas eu conscience d’être un exemple : le sentiment de ne pas être ou de ne pas vouloir être Brésilien, sentiment que le peuple du Rio Grande do Sul éprouve maintes fois, soit dans des situations triviales du quotidien, soit dans l’organisation de mouvements séparatistes.
Sérieusement ou par plaisanterie, on a toujours beaucoup dit au RS que c’est un «pays à part» (notre drapeau actuel est le même que celui de l’époque des révolutionnaires, farroupilhas, qui ont séparé l’État du reste du pays bien qu’au début ils n’avaient pas cette intention). Comme j’ai toujours cru qu’il existait une grande distance entre parler et sentir, la réalité de ce sentiment nouveau me troublait. Cela signifiait que je n’avais pas besoin de sortir dans la rue avec quelques fous qui cherchaient à se séparer: j’étais déjà, de fait, détaché du Brésil.
A cette époque, à la charnière des années 80 à 90, le thème du «pays à part» était de nouveau à la mode, il n’existait pas dans les autres régions du pays, et aujourd’hui encore, il n’est pas de peuple plus occupé à interroger sa propre identité que le peuple du RS. Dans ce contexte, le gauchismo et les mouvements séparatistes étaient en vogue provoqués par les protestations au gouvernement fédéral à cause de la mauvaise situation économique de l’État avec la même rhétorique des révolutionnaires du XIXe siècle.
J’ouvre ici une parenthèse pour commenter ce que j’ai appelé gauchismo.
Dans un pays si grand comme le Brésil, il est très difficile que les régions puissent bien se connaître. Elles ne font qu’employer des stéréotypes en fixant donc des images imprécises. Les médias, situés au centre du pays, ont les mêmes difficultés et adoptent les mêmes stéréotypes régionaux pour expliquer la diversité, ce qui finit par les renforcer. Dans ce processus, des distorcions s’établissent comme les définitions des couleurs locales.
De nos jours, le mot gaúcho, désigne les habitants du Rio Grande do Sul. Mais il constitue aussi un des stéréotypes régionaux les plus répandus à l’échelle nationale, si ce n’est le plus répandu. Le Gaúcho est en même temps l’homme de la campagne et le héros, que l’écrivain brésilien Euclides da Cunha a définit comme ayant une existence-presque-romanesque. Du point de vue populaire, il est considéré comme un homme courageux, viril, criard, fanfaron, quelqu’un toujours près de son cheval, de sa viande et de son chimarrão.
Originellement le gaúcho est l’habitant de l’intérieur du Rio Grande do Sul qui travaille à cheval dans les champs et élève du bétail. Un personnage qui, dans le passé, a participé aux guerres et aux révolutions de l’État. Ce même personnage existe aussi chez nos voisins, en Uruguay et en Argentine. La différence réside dans le fait que dans ces pays, gaucho désigne seulement l’homme de la campagne, et ce n’est donc pas un terme adéquat pour désigner les habitants des centres urbains. Il est significatif que, dans la variété des types régionaux brésiliens, celle-ci soit la marque de représentation des rio-grandenses, et c’est justement ce qui les relie aux pays voisins et les fait donc devenir des «étrangers».
D’un autre point de vue, le gauchismo ou le tradicionnalisme Gaúcho est un grand mouvement organisé qui transite entre le stéréotype et la réalité de la vie à la campagne, et qui cherche à promouvoir ce qu’il considère comme la culture du Gaúcho. L’effort de certains groupes traditionnalistes pour légitimer ce personnage et son monde comme notre véritable identité et le lien historique du Gaúcho aux héros de la Guerre des Farrapos contribuent de manière décisive pour que le stéréotype soit accepté par les «Riograndenses» comme leur image de réprésentation. Dans l’État et dans le pays on ne dit presque plus Rio-grandense mais Gaúcho.
Au-delà de sa signification réelle, le Gaúcho, de par son lien avec les héros farroupilhas, est un symbole qui, dans les moments où l’auto-affirmation s’avère nécessaire, se trouve toujours à portée de main, tout comme le sentiment séparatiste.
Parlant d’identité et de séparation, je referme la parenthèse et je reviens à Copacabana.
Le fait qu’un carnaval existe, et qu’il se donne à voir comme naturel en plein juin, m’a fait penser aux régions de la «chaleur» brésilienne, aux gens et aux habitudes qui se trouvent au-dessus du Sud-est brésilien et m’a amené à les relier au quotidien de Rio de Janeiro. L’esprit de cette fête ne signifiait rien pour moi, mais il représentait sûrement quelque chose pour la plupart de mes voisins cariocas et pour le reste du Brésil. Malgré toute la diversité, je voyais dans le Brésil tropical (je généralise pour faire référence au Brésil à l’exception de sa partie subtropicale, la Région Sud) des langages, des goûts, des comportements communs qui sont les caractéristiques de sa face la plus visible. Son art, son expression populaire avaient toujours comme toile de fond l’appel irrésistible de la rue, où le multiple, le varié, le mélange qu’elle évoque prennaient de la forme, puisque la musique et le rythme étaient certainement une invitation à la fête, à la danse, au bonheur de gens expansifs et accueillants. Il y avait en fait une esthétique qui convenait parfaitement au cliché du Brésil tropical. Et si je ne pouvais affirmer qu’elle unifiait les Brésiliens, j’étais sûr que nous, à l’extrême sud, contribuions très peu à son existence. Ce qui correspondait si bien à l’idée courante de la brésilianité parlait aussi de nous, mais n’en disait que très peu, et jamais sur ce qui nous est fondamental. Il était évident pourquoi nous nous sentions les plus différents dans un pays fait de différences.
Si mon identité, tout à coup, était incertaine, d’un autre côté, tandis que je regardais les images du froid comme quelque chose de très bizarre dans le contexte tropical (je précise ici que le journal télévisé est transmis dans tout le pays), une évidence s’imposait telle une certitude significative: le froid est un paramêtre de différence important entre nous et les Brésiliens - Et la magnitude de la différence qu’il représente va au-delà du fait que dans aucun endroit du Brésil, on ne sent autant le froid comme du sud. Etant l’emblème d’un climat aux saisons bien définies et aussi celui de nos saisons propres et intimes; déterminant notre culture, nos habitudes, ou faisant bouger notre économie; étant identifié à notre paysage; donnant au Gaúcho à l’existence-quasi-romanesque, comme au Rio Grandense, une atmosphère adéquate, et tout ce qui ne lui est pas étranger; pour tout cela, le froid, bien qu’il ne soit pas notre exclusivité, nous distingue des autres régions du Brésil. Le froid, phénomène naturel toujours présent dans les médias, et en même temps métaphore capable de parler de nous de façon vaste et définitive, symbolise le Rio Grande do Sul et est symbolisé par lui.
Nous avons besoin d’une esthétique du froid, me suis-je dit. Il y avait une esthétique qui semblait vraiment unifier les Brésiliens, une esthétique pour laquelle nous, à l’extrême sud, nous avions peu contribué; l’idée courante de brésilianité disait très peu sur nous, et jamais sur ce qui était fondamental. Nous nous sentions les plus différents dans un pays fait de différences. Mais comment étions-nous alors? De quelle manière nous exprimions-nous de la façon la plus complète et véritable? L’écrivain argentin Jorge Luís Borges, qui est enterré ici à Genève, a écrit: l’art doit être comme un miroir qui nous révèle notre propre visage. Malgré nos contreparties froides, nous n’avions pas encore été capables d’engendrer une esthétique du froid qui puisse révéler notre propre visage.

http://www.bahiaflaneur.net/blog2/2010/09/qui-etes-vous-vitor-ramil.html

Dans le Rio Grande do Sul, la sublime "esthétique du froid" de Vitor Ramil

http://www.bahiaflaneur.net/blog2/2010/09/le-voyage-de-vitor.html

quarta-feira, 24 de agosto de 2011

O Ciclo "Aspectos e desafios da francofonia" está de volta!

O Ciclo "Aspectos e desafios da francofonia" está de volta!
Convidamos a todos para asssitir à palestra da  Profa Dra Claudia Rombaldi, "La nasalité des voyelles: la répresentation orthographique par des apprenants brésiliens en FLE", no dia 2 de setembro, sexta-feira, das 15:10 às 16:50, na sala 12 do Centro de Letras e Comunicação no Campus Porto - UFPEL.
Graduada em Letras - Habilitação Português e Francês, Claudia Rombaldi é doutora em Educação e professora de Ensino Básico, Técnico e Tecnológico da área Comunicação e Expressão do IFsul - campus Pelotas - Visconde da Graça - CAVG .
O projeto de extensão Ciclo de Palestras"Aspectos e desafios da francofonia" é uma iniciativa conjunta da Área de Francês do CLC da UFPEL e do Comitê-Sul da Associação de Professores de Francês do Rio Grande do Sul.

terça-feira, 2 de agosto de 2011

ESTÃO ABERTAS AS INSCRIÇÕES PARA OS CURSOS BÁSICOS DE EXTENSÃO EM LÍNGUAS ESTRANGEIRAS

Edital no site da faculdade de Letras- UFPel

 http://www.ufpel.edu.br/letras/site/content/noticias/noticia-detalhe.php?noticia=441



   Horários do Francês Básico I 
   Turma 1- Terças e Quintas - das 19h20 às 21h20- Fac.Letras-Av. Bento Gonçalves- sala 02
   Turma 2- Sábado- das 8h30 às 12h- Fac. de Letras-Campus Anglo- sala ainda não determinada 


sábado, 11 de junho de 2011

Grammaire française en ligne

http://www.etudes-litteraires.com/grammaire.php

Catherine Deneuve no Brasil

http://zerohora.clicrbs.com.br/especial/rs/segundocaderno/19,1027,3345123,Catherine-Deneuve-entre-nos.html

Catherine Deneuve entre nós

Atriz veio ao Brasil para divulgar "Potiche" e o Festival Varilux de Cinema Francês, em cartaz em Porto Alegre

Roger Lerina  |  roger.lerina@zerohora.com.br
Aos 67 anos, ela é uma das maiores divas da história do cinema francês - apesar de dizer que o título não lhe agrada.

— Parece alguém cheio de caprichos — sustenta Catherine Deneuve, que veio ao Brasil para divulgar Potiche: Esposa Troféu, comédia em que a musa de cineastas como Buñuel e Polanski atua, canta, dança e até corre, provando que o fascínio que exerce nas telas há mais de 50 anos continua em plena forma.

A atriz concedeu coletiva de imprensa na tarde de quinta-feira (9) no Rio, após ter participado na véspera em São Paulo da abertura do Festival Varilux de Cinema Francês — evento que exibe 10 filmes franceses recentes até o próximo dia 16 em 22 cidades, inclusive Porto Alegre. Catherine Deneuve chegou ao encontro no hotel de luxo em que está hospedada, em frente ao Forte de Copacabana, duas horas depois do previsto — seu voo atrasou por causa do mau tempo. Discreta, vestindo casaco de cashmere verde e calça marrom, a francesa saudou os jornalistas em português com um "bom dia" .

Já na primeira questão Deneuve teve que falar sobre seu papel mais célebre: Séverine, a esposa recatada que vira prostituta de luxo em A Bela da Tarde (1967), de Buñuel. Interrogada a respeito de seu interesse em trabalhar com diretores transgressores como o mestre espanhol, colocou em perspectiva essa ideia:

— Não escolhi trabalhar com Buñuel por causa da transgressão na época, mas pelo trabalho. Há atores que são vinculados para sempre a um filme, e acho que há uma vontade da imprensa de vincular minha pessoa à Bela da Tarde. Mas entendo que foi um trabalho marcante e que, por isso, ficou na memória das pessoas.

A força do mito impõe-se. Com mais de uma centena de filmes no currículo, incluindo clássicos como Repulsa ao Sexo (1965) e Tristana (1970), La Deneuve inevitavelmente é vista pelos amantes do cinema como uma diva.

— Diva, em primeiro lugar, é um termo para ópera — pondera a estrela. — Para as atrizes de cinema é algo meio pejorativo. O que faz falta ao cinema é o mistério, isso que falta aos atores de hoje. Não quero saber como os atores são fora dali, se vão à feira, levam os filhos à escola. Sou atriz, mas nunca penso assim. Às vezes, é um pouco pesado ser Catherine Deneuve. Mas há mais vantagens do que desvantagens.

Durante o encontro de 40 minutos, Deneuve não fumou — diferentemente da coletiva paulista, quando o fato de ter acendido cigarro, desrespeitando a lei antifumo, virou assunto.

— Estranhei que os brasileiros sejam tão formais. Fumei porque na França, se estamos em lugar privado, podemos fumar, com o consentimento do dono. Mas, se soubesse, não teria fumado, porque é claro que não quero ficar tachada de fumante compulsiva. Passei horas dentro de um avião da França para vir divulgar o filme e o festival, mas tudo o que saiu nos jornais foi que eu fumei na coletiva. Francamente! — queixou-se, reclamando também da patrulha do politicamente correto: — O problema é que com a internet as coisas são tiradas de contexto e tomam uma enorme proporção. Sou totalmente contra o politicamente correto.

Perguntada por ZH a respeito de como foi trabalhar em Potiche novamente com Gérard Depardieu — com que atuou em filmes como O Último Metrô (1980) —, Deneuve elogiou o colega e também o diretor François Ozon:

— Foi incrível trabalhar com Gérard porque ele é um parceiro maravilhoso que adora as mulheres. O que me seduziu em Potiche foi o lado alegre e também por voltar a trabalhar com Ozon após Oito Mulheres (2002).

Antes de se despedir, Deneuve comentou a respeito de envelhecer — no cinema e na vida:

— Hollywood é Hollywood. É muito a imagem, o culto à beleza e à juventude, o que é limitador para as atrizes. Acho lamentável. É claro que, aos 67 anos, eu não posso mais fazer papéis de menina. Os papéis vão mudando conforme a idade. Acredito que a gente envelhece melhor na Europa e nos países latinos

sexta-feira, 6 de maio de 2011

LES EAUX DE MARS - VERSÃO EM FRANCÊS

Letra em francês da música "Les eaux de mars" (Águas de Março) do nosso grande compositor Tom Jobim:

Les Eaux de Mars Stacey Kent
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine

Un reste de racine, c'est un peu solitaire

C'est un éclat de verre, c'est la vie, le soleil

C'est la mort, le sommeil, c'est un piège entrouvert


Un arbre millénaire, un nœud dans le bois

C'est un chien qui aboie, c'est un oiseau dans l'air

C'est un tronc qui pourrit, c'est la neige qui fond

Le mystère profond, la promesse de vie


C'est le souffle du vent au sommet des collines

C'est une vieille ruine, le vide, le néant

C'est la pie qui jacasse, c'est l'averse qui verse

Des torrents d'allégresse, ce sont les eaux de Mars


C'est le pied qui avance à pas sûr, à pas lent

C'est la main qui se tend, c'est la pierre qu'on lance

C'est un trou dans la terre, un chemin qui chemine

Un reste de racine, c'est un peu solitaire


C'est un oiseau dans l'air, un oiseau qui se pose

Le jardin qu'on arrose, une source d'eau claire

Une écharde, un clou, c'est la fièvre qui monte

C'est un compte à bon compte, c'est un peu rien du tout

Un poisson, un geste, c'est comme du vif argent

C'est tout ce qu'on attend, c'est tout ce qui nous reste

C'est du bois, c'est un jour le bout du quai

Un alcool trafiqué, le chemin le plus court


C'est le cri d'un hibou, un corps ensommeillé

La voiture rouillée, c'est la boue, c'est la boue

Un pas, un pont, un crapaud qui croasse

C'est un chaland qui passe, c'est un bel horizon

C'est la saison des pluies, c'est la fonte des glaces

Ce sont les eaux de Mars, la promesse de vie


Une pierre, un bâton, c'est Joseph et c'est Jacques

Un serpent qui attaque, une entaille au talon

Un pas, une pierre, un chemin qui chemine

Un reste de racine, c'est un peu solitaire


C'est l'hiver qui s'efface, la fin d'une saison

C'est la neige qui fond, ce sont les eaux de Mars

La promesse de vie, le mystère profond

Ce sont les eaux de Mars dans ton cœur tout au fond


Un pas, une " ... pedra é o fim do caminho

E um resto de toco, é um pouco sozinho ... "

Un pas, une pierre, un chemin qui chemine

Un reste de racine, c'est un peu solitaire...

Stacey Kent - Les eaux de Mars

quarta-feira, 27 de abril de 2011

Pesquisadora canadense faz palestra em francês na UFPel

Uma missão etnográfica trouxe a canadense Maja Nazaruk a Pelotas na tarde desta quarta-feira (27) para palestrar sobre a cultura de seu país na Universidade Federal de Pelotas (UFPel). A estudante de doutorado na Universidade de Montreal já conheceu mais de 30 países, mas é a primeira vez que vem ao Brasil e com a intenção de interagir com estudantes da língua francesa.

Ela diz que sua visita foi possível graças à bolsa de um programa para professores visitantes da Association Internationale des Études Québécoises. No encontro, estudantes do curso de Francês da UFPel mostraram-se curiosos e fizeram inúmeras perguntas.

Maja diz estar feliz pela qualidade do ensino francês na Zona Sul do Brasil. A iniciativa ocorreu no campus Porto e também faz parte do Ciclo de Palestras Aspectos e Desafios da Francofonia, projeto de extensão da área de Francês.

As palestras tiveram como tema Un entretien sur le Québec - uma entrevista em Quebec - e Le concept de traumatisme dans l’esthétique de guerre dans un film de Villeneuve (Incendies).
http://www.diariopopular.com.br/site/content/noticias/detalhe.php?id=3&noticia=36470

domingo, 24 de abril de 2011

CICLO DE PALESTRAS DA FRANCOFONIA- PROGRAMAÇÃO


Dia 27 de abril : duas palestras de Maja Nazaruk
das 13:30 às 15:00  Un entretient sur le Québec (especialmente para os alunos ingressantes da Licenciatura em Letras Francês Português)
das 15:10 às 16:50  Un entretient sur le cinéma québecois.
Dia 3 de maio:  palestra de Luciana Rassier 
das 17:10  às 18:50  Du texte à l'image: traductions intersémiotiques
Dia 13 de maio: palestra de Jacques Pétriment
das 15:10 às 16:50  Un entretient avec Jacques Petriment, attaché culturel de la Ambassade de France et directeur de l'Alliance Française de Porto Alegre

CICLO DE PALESTRAS DA FRANCOFONIA


Ciclo de Palestras Aspectos e   Desafios da Francofonia

Palestrante: MAJA NAZARUK

Estudante de doutorado na Universidade de Montreal no Canadá; bolsista do programa da Association Internationale des études québécoises; visitante no Curso  de Letras da FURG.

Data: 27 de abril
Local: Centro de Letras e Comunicação- Campus Anglo
·         das 13h30min às 15h: Un entretient sur le Québec (especialmente para os alunos ingressantes da Licenciatura em Letras Francês e Português)
·         das 15h10min às 16h50min: Un entretient sur le cinéma québecois

segunda-feira, 18 de abril de 2011

22 avril 1500 Les Portugais s'installent au Brésil

Et le Portugal inventa le Brésil...
Comme les autres Européens de son temps, Cabral ignore encore que les terres découvertes par le Gênois correspondent à un nouveau continent.
C'est donc, semble-t-il, avec surprise qu'il découvre une vaste et belle terra incognita au niveau de la future ville brésilienne de Salvador. Il la baptise du nom de Santa Cruz (Sainte Croix) et il noue de premiers contacts avec les pacifiques Indiens Tupi qui habitent la contrée.
Ces derniers lui offrent de magnifiques plumes d'oiseaux exotiques et aussi du brésillet, un bois connu au Portugal sous le nom de pau brasil avec lequel on fait une teinture rouge. Ce pau brasil désignera plus tard le pays : Brésil (en portugais, Brasil).
Pedro Álvares Cabral ne manque pas de renvoyer l'une de ses caravelles à Lisbonne, en y joignant quelques beaux perroquets, pour faire part de sa découverte.
Il séjourne une dizaine de jours sur ce qu'il croit être une île et en prend possession au nom de son roi sans en soupçonner l'importance. Après cela, il reprend son voyage vers le cap de Bonne Espérance, au sud de l'Afrique, fait escale sur l'île de Madagascar et arrive comme prévu aux Indes.
À Calicut, les marchands arabes de la ville voient d'un mauvais oeil l'arrivée de ce concurrent. Le samorim, ou seigneur de la mer, le refoule. La flotte portugaise bombarde la ville pendant deux jours avant de se replier un peu plus loin, à Cochin, ville hindoue où elle accoste le 13 septembre 1500. C'est là que Cabral se pourvoit en épices pour le retour.
Il revient à Lisbonne deux ans plus tard avec quatre navires au lieu de douze et le tiers de ses hommes seulement. Mais il ramène aussi de pleines cargaisons d'épices (3000 tonnes) et le souvenir d'une certaine découverte à l'ouest de l'Atlantique sud.
La prise de possession du futur Brésil par le Portugal est validée conformément au traité de Tordesillas. Les colons portugais commencent à s'y installer quelques années après le voyage de Cabral et c'est en vain que quelques décennies plus tard, les Hollandais et les huguenots français tentent de les en chasser.

http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=15000422

quinta-feira, 31 de março de 2011

Marca de 2000 visitantes após out/2010

Merci beaucoup!!!

Passamos de 2000 (Dois mil) visitantes desde outubro/2010- Muito obrigada. Merci beaucoup!


 Enviem sugestões de posts. Continuarei colocando links de assuntos relativos ao aprendizado da língua francesa.

E não é mentira de 1º de abril ( Ce n'est pas le poisson d'avril!!)

domingo, 27 de março de 2011

domingo, 20 de março de 2011

Au clair de la lune

Au clair de la lune

Au clair de la lune

Chansons Enfantines

Au clair de la lune,
Mon ami Pierrot,
Prête-moi ta plume
Pour écrire un mot.
Ma chandelle est morte,
Je n'ai plus de feu,
Ouvre-moi ta porte,
Pour l'amour de Dieu.
Au clair de la lune
Pierrot répondit :
"Je n'ai pas de plume,
Je suis dans mon lit.
Va chez la voisine,
Je crois qu'elle y est,
Car dans sa cuisine
On bat le briquet.
Au clair de la lune
L'aimable lubin
Frappe chez la brune,
Elle répond soudain,
Qui frappe de la sorte ?
Il dit à son tour :
Ouvrez-moi la porte
Pour l'amour de Dieu.
Au clair de la lune,
On n'y voit qu'un peu :
On chercha la plume,
On chercha le feu.
En cherchant d'la sorte
Je n'sais c'qu'on trouva,
Mais j'sais que la porte
Sur eux se ferma
{Variante:}
Au clair de la lune
Pierrot se rendort.
Il rêve à la lune,
Son cœur bat très fort ;
Car toujours si bonne
Pour l'enfant tout blanc,
La lune lui donner
Son croissant d'argent

terça-feira, 15 de março de 2011

Semaine de la langue française et de la francophonie

Semaine de la langue française et de la francophonie
Chaque année, à l'initiative du ministère de la Culture et de la Communication, la Direction générale de la langue française et aux langues de France célèbre la langue française à travers une Semaine de la Langue française et le de la francophonie, qui se déroulera du 13 au 20 mars. L'Institut français s'associe à l'opération "Dis-moi dix mots", cette année autour du thème de la solidarité


segunda-feira, 28 de fevereiro de 2011

1er mars 1565 Fondation de Rio de Janeiro

1er mars 1565
Fondation de Rio de Janeiro

Le 1er mars 1565, sur la côte du Brésil, au fond d'une baie, le capitaine portugais Estácio de Sá fonde la ville de São Sebastião do Rio de Janeiro.
La première partie de son nom rappelle le roi Sébastien 1er qui règne alors sur le Portugal ; la deuxième partie rappelle que la baie, découverte en 1502 le jour de la Saint Janvier (Janeiro), a été prise à tort pour l'estuaire d'un fleuve (rio).
Plus simplement appelée Rio de Janeiro ou Rio, la ville devient capitale du Brésil colonial le 31 août 1763, au détriment de Salvador de Bahia. Le 21 avril 1960, elle perd son statut de district fédéral et de capitale au profit de Brasília. Elle constitue depuis lors un nouvel État brésilien : Guanabara.
Même si elle n'est plus capitale fédérale, Rio demeure pour ses habitants la «Ville merveilleuse», expression apparue au 1908 et consacrée par l'usage depuis. Creuset de la culture métissée et berceau de la samba, l'attribution des Jeux Olympiques de 2016 devrait encore renforcer son prestige.
http://www.herodote.net/almanach/jour.php?ID=402

domingo, 27 de fevereiro de 2011

Moacyr Scliar (1937-2011)

Faleceu hoje um dos nossos grandes escritores, Moacyr Scliar. Além de ler alguns de seus livros e crônicas, tive o prazer de conhecê-lo em março de 2010, quando esteve em Pelotas, no auditório da Universidade Católica. Ele, como membro da Academia Brasileira de Letras, veio divulgar a "Maratona Escolar Joaquim Nabuco", um concurso de redação para alunos do ensino médio.Como sempre, suas palavras foram mais uma aula de conhecimento e com a simpatia que lhe era peculiar, posou para fotos com os que ali estavam. Eu fui uma das felizardas a ter esse momento eternizado, como mostra a foto a seguir. Autografando "A língua de três pontas".


 Mais detalhes da sua vida e obra na matéria da ZH:

http://www.clicrbs.com.br/zerohora/swf/especial_moacyr_scliar/index.html

domingo, 13 de fevereiro de 2011

Site com vários idiomas - com som

http://swac-collections.org/index.php

Dicas práticas de francês para brasileiros

Encontre as dicas neste endereço:
http://dicasdefrances.blogspot.com/

Grammaire- Gramática

Discours indirect
(discurso indireto)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_indirect#Discours_indirect_formel

La nuit des Masques, por Elis Regina e Pierre Barouh

La nuit des Masques, por Elis Regina e Pierre Barouh

La Nuit Des Masques

Chico Buarque

Composição: Chico Buarque
Qui êtes-vous?
Si tu m'aimes, tu dois deviner
Aujourd'hui tous les deux on se cache
Derrière nos masques
Pour se demander:
Qui êtes-vous? Dites vite!
Dis-moi à quel jeu tu m'invites
Je voudrais me fondre à ta suite
Je voudrais qu'on prenne la fuite
Moi, je vagabonde, poéte et chanteur
J'ai perdu la ronde qui mène au bonheur
Moi, je cours les routes
Je reste chez moi
L'amour me déroute
Je n'y croyais pas...
Moi, dans la fanfare
Je porte un drapeau
Modèstie à part, je joue bien du pipeau
Je suis si fragile
J'ai dix ans de trop
Je suis Colombine
Je suis Pierrot
Mais c'est Carnaval et qu'importe aujourd'hui qui tu es
Demain tout redeviendra normal
Demain tout va finir
Laissons le temps courir
Laisse au jour sa lumière
Aujourd'hui je suis ce que tu attends de moi
Si tu veux laissons faire, on verra
Peut-être que demain on se retrouvera
Peut-être que demain on se reconnaîtra...

Rádio Eldorado FM- Bistrô - Programa com músicas francesas

http://int.territorioeldorado.limao.com.br/eldorado/audios!getAudios.action?idPrograma=193

Ao vivo: Domingos - 14 horas

Podem ser acessadas as edições anteriores. 




Entrevista de Chico Buarque (em francês)

segunda-feira, 31 de janeiro de 2011

Gérard Lenorman - Michèle

Gérard Lenorman - Michèle

Michèle Gérard Lenorman
Tu avais à peine quinze ans
Tes cheveux portaient des rubans
Tu habitais tout près
Du Grand Palais
Je t'appelais le matin
Et ensemble on prenait le train
Pour aller, au lycée.
Michèle, assis près de toi
Moi j'attendais la récré
Pour aller au café
Boire un chocolat
Et puis t'embrasser

Un jour tu as eu dix-sept ans
Tes cheveux volaient dans le vent
Et souvent tu chantais :
Oh ! Yesterday !
Les jeudis après-midi
On allait au cinéma gris
Voir les films, de Marilyn
Michèle, un soir en décembre
La neige tombait sur les toits
Nous étions toi et moi
Endormis ensemble
Pour la première fois.

Le temps a passé doucement
Et déchu le Prince Charmant
Qui t'offrait des voyages
Dans ses nuages
On m'a dit que tu t'es mariée
En avril au printemps dernier
Que tu vis, à Paris.

Michèle, c'est bien loin tout ça
Les rues, les cafés joyeux
Mêmes les trains de banlieue
Se moquent de toi, se moquent de moi
Michèle, c'est bien loin tout ça
Les rues, les cafés joyeux
Mêmes les trains de banlieue
Se moquent de toi, se moquent de moi....
Se moquent de moi !

quinta-feira, 6 de janeiro de 2011

Les proverbes du monde entier

http://www.leproverbe.fr/

La fête de l'épiphanie ou fête des rois

http://www.momes.net/dictionnaire/e/epiphanie/epiphanie.html

Dia de Reis - 06 de Janeiro - Brasil Escola

Dia de Reis - 06 de Janeiro - Brasil Escola

No dia 06 de janeiro comemora-se o dia de Reis, que na tradição cristã foi o dia em que os três reis magos levaram presentes a Jesus Cristo.
Cada um dos reis magos saiu de sua localidade de origem, ao contrário do que pensamos - que viajaram juntos.
Baltazar saiu da África, levando para o menino mirra, um presente ofertado aos profetas. A mirra é um arbusto originário desse país, onde é extraída uma resina para preparação de medicamentos.
O presente do rei Gaspar, que partiu da Índia, foi o incenso, como alusão à sua divindade. Os incensos são queimados há milhões de anos para aromatizar os ambientes, espantando insetos e energias negativas, além de representar a fé, a espiritualidade.
Melchior ou Belchior partiu da Europa, levando ouro ao Messias, rei dos reis. O ouro simbolizava a nobreza e era oferecido apenas aos deuses.
Em homenagem aos reis magos, os católicos realizam a folia de reis, que se inicia em 24 de dezembro, véspera do nascimento de Jesus, indo até o dia 06 de janeiro, dia em que encontraram o menino.
A folia de reis é de origem portuguesa e foi trazida para o Brasil por esses povos na época da colonização.
Durante os festejos, os grupos saem caminhando pelas ruas das cidades, levando as bênçãos do menino para as pessoas que os recebem. É tradição que as famílias ofereçam comidas aos integrantes do grupo, para que possam levar as bênçãos por todo o trajeto.
Os integrantes do grupo da folia de reis são: mestre, contramestre, donos de conhecimentos sobre a festa, músicos e tocadores, além dos três reis magos e do palhaço, que dá o ar de animação à festa, fazendo a proteção do menino Jesus contra os soldados de Herodes, que queriam matá-lo. Além desses personagens, os foliões dão o toque especial, seguindo o cortejo.
Uma tradição bem diferente da nossa acontece na Espanha, onde as crianças deixam sapatos nas janelas, cheios de capim ou ervas, a fim de alimentar os camelos dos Reis Magos. Contam as lendas que em troca, os reis magos deixam doces e guloseimas para as crianças.
Em alguns países fazem a comemoração repartindo o Bolo Rei, que tem uma fava no meio da massa. A pessoa que for contemplada com a fava deve oferecer o bolo no ano seguinte.
Na Itália a comemoração recebe o nome de Befana, uma bruxa boa que oferece presentes às crianças. No país não existe a tradição de se presentear no dia 25 de dezembro, mas no dia 06 de janeiro, dia de reis.
O dia de reis é tão importante na Europa que se tornou feriado em todo o continente.
Por Jussara de Barros
Graduada em Pedagogia
Equipe Brasil Escola